- Prix réduit
- Nouveau

Les trains, les stades, les écoles, sont des coupe-gorge, nous répéta-t-on pendant toute la dernière campagne présidentielle.Etétanisés, nous nous sentons prêts à le croire. Souvenons-nous de ces moments de stupeur où se mêlent terreurs, euphories, dépressions, et un trouble consentement.Succédant à de longues périodes d'omerta et d'autocensure,ces transes modernes rassemblent des ingrédients communs.On y croise les mêmes personnages d'Ogres et de victimes, de justiciers et de naïfs, de manipulateurs et de complices.On est victime de sombres complots.On ressent dans sa chair l'effondrement des anciennes certitudes, des anciennes protections.On y perd ses repères, son sens critique, et jusqu'à son identité.Omerta, emballement : telles sont les deux étapes infernales du cauchemar médiatique.
Les trains, les stades, les écoles, sont des coupe-gorge, nous répéta-t-on pendant toute la dernière campagne présidentielle.Etétanisés, nous nous sentons prêts à le croire. Souvenons-nous de ces moments de stupeur où se mêlent terreurs, euphories, dépressions, et un trouble consentement.Succédant à de longues périodes d'omerta et d'autocensure,ces transes modernes rassemblent des ingrédients communs.On y croise les mêmes personnages d'Ogres et de victimes, de justiciers et de naïfs, de manipulateurs et de complices.On est victime de sombres complots.On ressent dans sa chair l'effondrement des anciennes certitudes, des anciennes protections.On y perd ses repères, son sens critique, et jusqu'à son identité.Omerta, emballement : telles sont les deux étapes infernales du cauchemar médiatique.
Le cauchemar médiatique
Les trains, les stades, les écoles, sont des coupe-gorge, nous répéta-t-on pendant toute la dernière campagne présidentielle.Etétanisés, nous nous sentons prêts à le croire. Souvenons-nous de ces moments de stupeur où se mêlent terreurs, euphories, dépressions, et un trouble consentement.Succédant à de longues périodes d'omerta et d'autocensure,ces transes modernes rassemblent des ingrédients communs.On y croise les mêmes personnages d'Ogres et de victimes, de justiciers et de naïfs, de manipulateurs et de complices.On est victime de sombres complots.On ressent dans sa chair l'effondrement des anciennes certitudes, des anciennes protections.On y perd ses repères, son sens critique, et jusqu'à son identité.Omerta, emballement : telles sont les deux étapes infernales du cauchemar médiatique.